Mes amis
Je vous écris après avoir passé un petit W-K à Toledo, et avoir reçu la visite d'un excellent ami, du nom de Gabriel, des îles Canardies. Commençons par le début donc
Semaine passée, j'avais en tête que de passer par Toledo, car les journées commençaient à s’allonger, et le soleil tapait de plus en plus fort, toujours adouci par la brise qui serpente les ruelles, et assèche la gorge de sa poussière. Vendredi soir donc, je m’attends à une soirée pépère, car kokote adri partie à Barcelone, et ses copines avec, donc, rendez vous chez, ceux que j’espère mes futurs kokots, un charmant couple d’amis portugais, qui cherchent un appart aussi. Cette fois, c’est chez un de leurs amis, qui fait aussi un doctorat en chimie, dans un appart à 10 min d’un metro éloigné du centre, mais bien loti (ou peu, suivant les bêtes auxquelles on fait allusion). J’avais fait ce soir là, une succulente Tortilla, au chorizo et poivron rouge, qui m’avait bien rempli et surtout retardé, mais bon, je me pointe vers 11h, la hand-bier avec, pour pas la faire longue, et voilà qu j’arrive juste au moment où ils allaient commencer à manger (quand même étonné qu’on puisse se retenir aussi longtemps). Après les introductions aux autres invité, avec entre autres, un couple de chimistes, dont l’un, français ayant vécu à LLN, qui pétait pas un mot d’espagnol, et fort sympa, (puisque faisait la vaisselle lorsque je rentrais ;-)suit le repas (des tapas et pizza), et peu après, les filles nous abandonnent, pour mieux dormir l’une, pour retrouver son charmant avant le matin l’autre. Tout s’annonçait super, enfin une vraie soirée mecs, avec plein de bières, et autres substances dilettantes toutes aussi agréables. Après être passés 4 fois aux toilettes, s’annonce la fin de la boisson, et l’heure de rentrer. On décide de prendre la caisse, vu que c’était pas loin, et que pas d’autre moyen non plus. Au moment d’embarquer dans l’ascenseur, notre amis français, assez dans l’extase post alcoolique et qui se laâche sautille gaiement, dès la première seconde dans le monocoque, et voilà, la poulie décide de s’arrêter, et nous dedans. Fort habitué aux coucous belges, qui repartent après un certain temps, le redeclenchement s’avère impossible sans l’aide externe. Une sonnette, assez ambulancinante qui n’attirait que les moustiques à cette heure là devait nous mettre en contact avec otis, pour nous ôter de là, mais à part un bruit d’intercommunicateur, rien, et l’alarme commençait à faire du gruyère dans les tympans.. Suit la panique du français, et puis les 2 autres, on va dire tranquilles, sauf le portugais qui demandait si nous étions bien calme. Finalement, André, le portugais, décide d’ouvrir la porte intérieure, car voyait notre amis français s’affoler par le manque d’aide. De plus il recommence à sautiller, et donne un super coup de Beckham dans le mur, et casse la plaquette en étain, pour découvrir les briques rouges, et le mortier. Moi je commence à chier sur le français, qui non seulement se plaignait, de mes graves accusations, mais semblait un peu incompris, que personne ne vienne ouvrir. Finalement, andré reussit l’exploit, encore une fois de trouver du réseauen s’élevant un peu, et appelle les pompiers… pendant 25 min, nous voici comme des sardines transpirantes, et le français qui n’arrêtait pas. De déconner malgré mes menaces.. Arrivent nos sauveurs, qui passent une clé bizarre à l’étage le plus proche non sans nous avoir écouté gueuler pour les guider vers nous. Et voilà, qu’ils nous font passer par la fente entre ascenseur et porte, nous tirant par les bras et la chemise, nous calment un peu, et nous donnent le bonsoir, après avoir pris nos coordonnées..
Je vous envoie à tous mes salutations les plus distinguées, et l’espoir de vous revoir assez prochainement (une mise à jour rapide de mon nouveau Blog s’impose, avec les photos de mon voyage à Tolède)
Voilà, Bon Lundi, et Excellente semaine à vous tous !
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