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dimanche 23 novembre 2008

Allons voir la neige!

J’ai posté il y a un temps, une mise à jour de mon Blog, sans trop d’ambages, et surtout sans rien vous dire.. Alors, à vos fauteuils, et METTEZ vous à jour.. Les photos et les fautes d’orthographe sont uniques dans leur genre,les aventures, fascinantes, avec des histoires d’amour, du drame, de l’humour, et du q..Lot J’en conviens, vous vous sentez délaissés, ou accaparés par tant d’info si pertinente, dès lors, je me décide de vous raconter mon dernier W-K, pour vous ré-familiariser à mes bonnes vieilles habitudes, lors de mon long séjour à Madrid Pendant la semaine passée, il a fait caillant, et sans aucun scrupule, m...dique ici à Madrid. Une grosse bouffée froide des Montagnes urales à tout simplement changé de saison pour de bon (ça passe très vite de l'une à l'autre ici), et au lieu de refroidir peu à peu le nord, blanchir les hautes cimes, et assécher le gazon, des monts et vallées, c’est en un soupir que la nature à mis sa robe d’automne. Heureusement, ce W-K là, comme la pluppart des madrilens, nous sommes partis chasser les flocons sur la 'sierra' pendant un moment, et oublier le gris, froid et humide de la semaine. Nous ne resentions là nullement l’appel à la cueillette sous les feuilles mortes ou la chasse d’écureuils rouges, non, juste un caprice, une virée, les images à la télé de la neige, avaient, au contraire, réchauffé nos coeurs, et surpris notre enfant caché, avide de sortir le traîneau, de sentir le froid Piquer lorsqu’on roulait sur la vallée, ou monceller des boules, et les décorer pour en faire des bonhommes de neige! Nous suivons donc la M-601, direction 'Nevacerrada' et nous arrivons d'abord près du barrage de Nevacerrada, dont la minuscule plage et l'eau font office de réserve de toutes les montagnes autour Les nuages sont bas, et l'air frais, d'une minute à l'autre tout peut se couvrir pour de bon, et nous arroser même de l'intérieur de la voiture.. La montée, en file indienne continue.. Une dernière, avant de passer la côte de la neige.. En effet, Les yeux sont quand même hésitants, car vers le bas nous apercevons par les vallons creux aux petites concentrations de maisons en pierre, couvertes d’ardoises et cheminées à peine fumantes. Le ciel, est quant à lui désuni, cachant les montagnes, mais filtrant la lumière, et les reflets sur les feuillages dorés, orangés, et vert foncés.. Quelque chose pressentait ce noble et euforique état de la matière..glaçons du ciel, qui n’ont pas eu tout à fait le temps de fondre, et se sont échoués en copeaux tel un manteau sur les montagnes..immobiles A cette altitude, il n'y a plusde chênes, et leur pétillant colori d'automne.. tout n'est plus que conifère..et fier de l'être. Tout à fait sur la cime, les roches saillantes et ses reflets gris.. Nous arrivons enfin au port, le passage des militaires et contrebandiers, aujourd’hui traficants de l’immobilier, Un drapeau flotte au vent glacé, près des casernes Et une encore, pour les nostalgiques.. Nous arrivons enfin sur la cime, complètement dégagée, et d’où d’étranges tours avec de longs cables s’enchaînent.. vides

Oui, les téléfériques, et les baraques pour les montagnards en masse..

Il faut dire, que dans la voiture, nous ne nous ennuyons pas, mise en abîme, et dialogues cassés par l’écho surréaliste des montagnes..

Voilà, enfin la neige, nous nous arrêtons pour dégourdir les jambes, monter et descendre, pitreries glissantes (sur le q) et compacter des boules de cette neige d'à peine 3 jours.. En premier, Lolita

Ensuite, l’autre galicien, qui avait trouvé une bonne excuse pour monter..

Puis descendre..

encore un, qui voulait rien perdre à tout ça..

Et qui en moins de rien.. à tout perdu..Même la tête..

Nous dépassons le port, et commence la descente vers l’inconnu.. puis un grand parking, et une belle vallée, ou les jeunes, et mûres familles traficottent des boules de neige encore fraîche, et des traîneaux fort sophistiqués..Une vue d’ensemble..

Et une en groupe..

Il y a un petit chemin tout tracé, qui monte et remonte, vers les homes de neige… Bonjour monsieur, vous allez bien?

Je vous assure monsieur, je vous veux du bien, je vous trouve meme un peu pâle!

Malgré ses bras boisés, l’homme d’une forte voix, grimaça découvrant ses trois dents dans un sourire pendu!

Oh la là! Je ne vous permets pas Monsieur! Couvrez vos mains, que je ne voie plus ces longs doigts! Allez ailleurs faire de vos grimaces , je vais aller parler avec mon ami le pieu un peu plus loin aux bras hauts levés vers sa foi! Un peu plus bas e la montagne, il y avait toute une communauté gelée qui s’organisait, et réglait le traffic des traîneaux et autres ciclotouristes de la neige.. cela n’empêche pas, que certaines différences échappent à nos bonhommes..

Bon alors, comme dirait l’autre, encore quelques unes pour la route

Oh, pardon, votre humble narrateur s’est un peu distrait.. l’air fredonnant de froid.. Oups, ce sac de sport est typique des contrebandiers.. par contre les chaussures.. c’est ça le truc, ce gars c’est un passé partout, et pourtant, il a des dons caches.. Ah, oui, beaucoup mieux, mais mais, c’est qu’il fait faim.. vite, descendre, traverser les fôrets, et nous arrivons au village, tranquille , sentant la braise, et affichant des menus remplis de gibier et champis..

ah oui, la petite rivière calme et qui coupe le village sous les ponts.. on y verrait des truites, que cela refroidirait plus de un..

Rien n’empêche que d’avoir une chopinnette bien froide sur la terrasse..Nous nous décidons enfin pour un resto sans trop de temps d’attente, et prix raisonnable..

Et de un, un petit vin

Et de deux, des champignons dans toutes leurs sauces

et de trois, du sanglier avec una sorte de purée de marrons, et compote de poire.. (du toro sous l'image)

Le service est très très patient, vu l’affluence, alors, quelques heures plus tard, et enfin de retour, pour remercier le seigneur de cette grâcieuse journée, nous nous arrêtons sur une abbaye (bon, c’est vrai, c’était pour le café et pas s’endormir au volant) et le crepuscule sur les montagnes cuivrées

Nous imprègne d'une belle photo à mettre dans les souvenirs paysagistes, un tableau dans la mémoire d'une journée exquise, ou presque.. Enfin l'abbaye

Et après avoir fait Presque demi-tour, viola qu’un moine nous ouvre une grosse porte en fer et bois, au grincement lourd, et nous invite à le suivre..

Une fois habitués à la pénombre, le moine descends sa capuche

C'est alors que nous apercevons au fonds du couloir, 2 silhouettes, avec les yeux brillant à la hauteur de leur ceinture..

Ouhy! Avec la leurs soutanes brune-bleue, et leur tête presque enfoncée à l’intérieur du tronc je pars en cavale,de toutes mes forces à travers la première porte à ma droite (grosse bosse avec ma tête) et chacun de son côté.

, et de là, la fôret.. la nuit se ferme, et la neige est devenue un mur de froid et de glace..

J'entends les hurlements d'effroi es autres, et les hullulements des loups affamés, en chasse de victimes apeurés, enfin, je trouve la voiture et les autres déjà dedans, nous partons laissant les traces de pneus et de boue.. et voilà, que de nouveau embouteillage pour le retour.. décidément, faut qu’on les attrappe tous les uns après les autres..

Voilà.. bref récit, que j’espère vous aura mené jusqu’à ces lignes, pour vous souhaiter une belle et pas trop laborieuse semaine, dégagée et pas trop frénétique, et que vous aurez l’occase de revenir sur ma page, une fois que vous vous retrouverez devant votre chaud fauteil, ou devant vos pop-corn du lundi ou mardi pour lire et relire mes récentes expériences!!

Bizes à tous, et à bientôt à Bruxelles, ou je serai là à partir du 22 décembre! P.S. Encore quelques unes..

Et d'autres..

VOilà!

Bonne semaine à vous tous!

jeudi 15 mai 2008

MARIACHE EN CROATIE

Mes amis

Long time, no see, mais pourtant, je suis encore là, derrière mon PC au boulot, ou plutôt, nouveaux bureaux de ma boîte. Le nouveau projet dans lequel je me suis engagé, à part me bouffer 2h de transport par jour, m'expose surtout à tout le reste de mes collègues, sans aucun sens de la pudeur. Le projet en soi, consiste à construire une raffinerie chez les grecs, et au début, cela m'a vraiment motivé, tellement je glandais dans l'autre bâtiment, mais mtn, c'est surtout le temps perdu que je regrette. Il y a eu aussi un déménagement. En effet kokotte de Seville, avec qui je m'entendais bien, m'a dit, après mon petit séjour à Amsterdam, que son frère avait trouvé une place de pilote de l'air à Madrid, et donc, que je devais partir, vu que ses parents voulaient qu'il reste avec elle, a 15 jours de son arrivée. Dans le désespoir, j'ai un peu cherché, mais sans grande attente, vu les dates, et le plan était que je reprenne le studio de kokotte loli, et elle et son copain aillent dans un autre du même bâtiment, mais un peu plus grand. J'ai continué à chercher de mon côté, et coup de bol monstre, je suis tombé chez Sarah, qui mangeait avec sa meilleure copine, avec qui tout s'est très bien passé, et l'après midi même, j'avais un kot, enhauurrrrme, (enfin, la chambre plus petite), avec une terrasse plus grande, la maisosn, presque à neuf (toujours une vieille bâtisse typique de la zone avec ascenseur à 1 personner), une belle terrasse, et 1 autre kokot, qui vient 1 semaiane sur 2, vu qu'il travaille comme saisonnier à perpet les chèvres du sud.. Le tout à 10 min de mon ancien kot, du côté d'Arguelles (un peu cimetière d'Ixelles).

Donc, il faut dire que ça n'a pas fait trop plaisir à kkotte loli, vu qu'elles s'était engagé à me laisser son ancien appart vis à vis de l'agence, et il y a eu grosse dispute avec l'ancienne locataire du nouvel appart de L. Puis il y a eu mon déménagement, assez laissé pour dernière minute, et les 2 derniers jours dormant sur le canapé, puis il y a eu les parents de Loli, et son copain, qui m'ont donné un coup demain extra.. Bref, j’attends toujours la garantie de mon ancien kot, et je suis charmé dans mon nouvel élément.

Alors très succinctement, Sarah bosse jusqu’à souvent assez tard l’aprèm, sort beaucoup, et je passe un super temps avec elle, vu son extraordinaire côté extrovertie, sa très bonne humeur imaginative, sa façon d’ordonner toujours le kot en très peu de temps, et surtout qu’on peut aborder toutes sortes de sujets et de sentiments, sans complexe, vu que c’est une fille assez voyagée, et dans toutes les langues. De plus elle adore ma bouffe, en échange de quoi, elle se plaint pas trop (voir du tout) de mon laxisme dans l’entretien qui est de plus en plus complet du kot. L’autre est quant à lui, beaucoup plus ‘gore’, toujours une bonne blague qui devrait te faire sentir comme une merde, mais te réconforte, aussi discipliné, et objectif quand il faut, et bon déconneur et incroyable chef cuistot (ah oui, pas de poil sur la langue non plus)! De plus entre les 2, il y a une très forte connivence qui pourrait rassembler à de la fraternité, continuation de l’autre dans une échelle débordante d’affection, d’extrêmes et de fou rires. Ils s’entendent à merveille, et le vivent très bien. Que dire de plus, que Sarah n’a aucun souci à partager sa vie sociale, et qu’on se rencontre dans des bars ou autre à Madrid, avec des bonnes choppes, et avec tout plein de monde d’ici et d’ailleurs qui la trouvent aussi géniale que moi!

Parlons plutôt du mariache et sa préparation. Là dessus, le groupe de polytech a vraiment tout fait (et le témoin en grande partie) pour que l'enterrement de jeune garçon se passe dans la confabulation d'alcool, bouffe, déguisements, gaffes, baroudages de karaté et autres scandales totale. Je n'ai pas grand chose à dire, vu qu'ils ont tout dit eux-même tout au long de leurs mails, mais que cela ne tienne, il y a eu beaucoup de preuves habilement réussies par le marié, et beaucoup qui m'ont bien fait rire, surtout la pré-bouffe et son déguisement de fou scientifique reprenant les phrases de notre premier prof de physique à l'unif. Les parodies se sont suivies, et le 'public' s'en donnait de bonne volonté aux questions forcées du futur marié, nous avons traversé la ville, chanté devant le Manneken pis (D'ailleurs son voisin du haut avait envie de nous en coller un entre les fesses), fait signer une conformité de bonne vie et moeurs au commissariat, et bien d'autres toutes aussi glorieuses. Le lendemain, vite rattrapper l'avion et de retour à Madrid, ou j'ai eu la visite de Nico pendant 2 semaines (pour raisons laborables) et le temps s'est écoule comme un soupir, m'a présenté plein de monde à Madrid et beaucoup de sorties, franchement chouette (ah oui, et sortie mémorable avec kokotte sarah) avec lui, son chef, ou d’autres vieilles amitiés.

Puis, les mails de préparation pour le voyage, la coordination presque millimétrique du témoin et les nombreuses contraintes auxquelles j’ai du le et les soumettre vu mon aéroport d’arrivage pas tout à fait à côté du destin final n’ont fait que monter l’impatiente pour arriver à ce pays encore inconnu et si proche. Laurie finalement pouvait pas venir, car docteur avait bien dit pas plus de 2h de voyages, et voiture et avion, ça en faisait 4! De plus les autres arrivaient par la Slovénie, e devaient faire petit détour pour venir me chercher.

En arrivant à l’aéroport, petit stress, car ma connexion pour Trieste n’existait pas, du coup, option 1, jusqu’à Venise, ou bien nuit à Rome, prenant premier avion du matin pour Trieste. J’ai prise la deuxième, en me disant que ce serait une belle occasion pour visiter Rome. J’arrive enfin avec le retard de 1h au dit aéroport (soit dit en passant, au bord de la mer) jusqu’au bureau de ‘customer service’, ensuite on me donne le billet pour le jour d’après, mais aucune façon d’avoir un logement, vu que selon Alitalia, j’avais pas ‘confirmé’, et me voilà, à la traîne, cherchant un hôtel pas loin de là, en pleine vacances de mai.. Finalement, m’en suis sorti bien (en suivant les conseils de la billeterie), et trouvé un truc avec transport et petit déj à un prix pas très modéré, mais raisonnable ! J’avais quand même la haine avec Alitalia, et pas moyen de faire une réclammation ni avoir un responsable à l’aéroport même, tout étant centralisé à travers une adresse unique à Rome..En plus, l’hôtel était dans un village entre l’aéroport et Rome, mais quand même à 45 min en taxi ou 1h en train de la ville

Photos de l’hôtel

Et à l’intérieur

Le lendemain, à la cefette, je comprends que l’hôtel est bondé de coréens, avec leur propre salle de petit déj, et à l’aéroport, je fais une dernière tentative de réclamation, mais pas moyen..

En vol, je suis déjà démangé d’impatience, car ces petits enfoirés, ont fait aussi bien qu’à Madrid, en changeant la porte d’embarquement 20 min avant départ (à croire qu’ils ont des parki-mètres pour les avions, et que les meilleures places iront aux passagers les plus stressés et vous enfoncent la valise où il faut pour arriver à l’heure à la nouvelle porte)

Je dois quand même reconnaître que j’ai quand même eu droit à une bouffe dans chaque vol, et de la boisson à volonté, et en arrivant, nous avons survolé Venise, et en arrivant, c’est les Alpes et leur bandoulière blanche qui m’a pris au dépourvu et sans caméra..

Aterrissage donc, et je reçois message de josé me disant que les travaux lui font rouler à 2 à l’heure, je prends enfin les photos sur les alpes

Ah oui, Trevise accueille aussi Ryan-merde, du coup en sortant, les passagers se font au mieux sentir par un chien (on va dire, plutôt humer les couilles), ou ouvrir les babgages.. à part moi, qui avait mon beau costume traînant à une perche cassée par le stress et à qui, le ‘carabinieri’ laisse passer d’un regard sevère d’entendu.

Arrive enfin José, Kanki et Thomas, ils m’embarquent, me proposent un sandwich, et surtout sont pressés de fuir le pays, et rentrer aux bonnes terres Croates (Republika Hrvatska) tellement cette petite pointe orientale italienne les a mis de mauvais poil. La zone avec la plage me rappelle fort Vigo, sauf qu’il y a des anachronismes de l’ère soviétique, avec des mochetés en béton immenses, suspendues en hauter par des colonnes encore plus vilaines, mais je vous réserve quand même une belle vue, pour pas trop vous décourager.. Et encore une avec vue sur.. l’autoroute et l’intérieur de l’Istrie Italienne On arrive ensuite en Slovenie, où nous devons passer une tranche de 20km pour arriver en Croatie.

Ce n’est pas pour comparer, mais tout de suite, les routes sont bien meilleures, les prairies vertes déguisent mieux la zone du port de Koper, le plus grand port du pays (origine du nom Capre, et pas le métal), et bien sûr, tous les noms changent (Trieste devient TRST), comme dirait Thomas, ils ont bouffé toutes les voyelles prononçables, le reste c’est pour l’imagination.

On arrive ensuite à la frontière chez les Croates. Du côté Slovène, aucun problème, et du côté Croate, juste une longue file, qui donnait de belles vues, et le Dragonia, rivière presque à sec qui sépare ‘naturellement’ la Slovènie avec leur ‘ex’ collègue Yougoslave qui s’est pris bien des coups de cannons récemment. Soit dit au passage, que depuis 4 ans, la zone d’Istrie (Istria) l’on va, s’est fait visiter intensément par les français et allemands, cherchant un coin calme, beau, et très bien conservé (le tout pour vous donner un avant goût des paysages, et des photos qui vont s’en suivre.

Alors un peu de Wikipedia sur la Croatie. La Croatie s’est déclarée indépendante en 91 (en même temps que la Slovénie), date à laquelle des Serbes dans la Croatie se sont rebellés, et avec l’aide de Milosevic, et sa ‘réunification’ de la grande Serbie,

ont tout donné pour détruire leurs voisins,jusqu’en 95, avec toutes sortes de rebellions internes avec l’appui de l’artillerie serbe, et sans aucune aide ou presque des Européens. Depuis lors, ils vivent en paix, et on nommé la guerre Domovinski rat. Ils ont depuis lors perdu leur leader charismatique, et sont gouvernés par des ‘conservateurs’. Que dire de plus.. ils ont la moitié de population que la belgique, et moitié de GDP par personne aussi et 1 fois et demi de plus de territoire. Et comme monnaie le Kuna (je vais voir si je peux scanner ces très beaux billets).

Encore une avec le contrôle de frontière Slovène (ce n’est pas un jour quelconque pour monsieur..) et la première photo de la Croatie

(Magnifique drapeau, bientôt on le verra à Bru, à côté des autres EUR)

Qunat à L’Istrie, c’est ‘un monumnet à l’adriatique’, divisée entre l’Italie, la Slovénie et la Croatie. Je ne sais pas quelle idée vous vous faissez de l’adriatique ni de la méditérrannée, pour moi, c’est de longues plages au sable blanc, comme fond une mer bleue, froide, et dont le vent et les vagues venant de ce côté là se frottent à de gigantesques batteries de bâtiments donnant une vue de fourmilière sur un terrain de patch coloris ronds et rectangulaires. L¡Istrie quant à elle, surtout dans la zone Slovène et Croate, à tout d’un monde préservé au poil près des invasions massives de capitaux constructeurs, et ont gardé pleinement leur grâce et leur beauté, dans un littoral nu, ou de temps à autres, des villages prédominament blancs, se tiennent autour d’une église, des ruelles caracollant autour, des toits rouges, et uniformes, couvrant des maisons simples, aux petits balcons, et plutôt des petites fenêtres. L’observateur, ne se rassasie pas seulement des villages, mais aussi découvre toute une campagne à la terre rouge, aux vignobles alignés sur des vallons joliment séparés. Il y a aussi d’autres choses bien méditerranéennes, notamment les oliviers, mais tout pousse de ce côté, et plus tard, je vous dira ce à quoi cela m’a rappellé.

Voilà donc, nous rentrons dans l’Istrie de l’Ouest, et d’après, encore une fois, le Wiki, c’était la tribu des llyriacs qui l’habitaient, et avaient une réputation da pirates sans scrupules, féroces, et dont les romains se sont pliés à 2 reprises, avant de pouvoir atteindre leur côtes rocailleuses. Par après, ils se sont fait piétiner par toutes sortes de barbares, mais conservant leur traditions. Celle qui a le plus duré sont les Vénitiens, après quoi, les allemands sont passés par lá, et puis après la WWII, cette partie là s’est fait négocier par Stalin lors de ripailles où s'allouaient les différents pays décimés par la guerre, pour aterrir aux mains Yougoslaves. Suivant le savant GPS Goran (surnom sympa donné par José), on découvre d’abord la campagne Croate..

C’est fou ce que ça sent le pré, la lavande, le thym, et autres assortiments printaniers, completés par l’Iode de la mer. L’istrie est aussi naturellement ‘ravagée’ par les creux laissés par les glaciers et leur ‘moraine’, d’où que la mer se berce à travers les fjords entre marées, mais laissant aussi de longues plaines, dont aucune parcelle n’a été laissée au hasard à la nature, ou elle l’a semé magnifiques marguerites et autres sauvageries toutes aussi pluchées.

On se dirige vers Umag, une petie ville dan la liste des ‘to do’, et le spectacle est vraiment .. beau.. voyez plutôt

Nous nous baladons tranquille le long de cette plage. Sur la photo, difficile de savoir de quoi est fait le sol.. ces craquelures sont très acérées par endroits, et polies d’autres, la couleur passe de sombre à du très blanc, mais la mer, elle est calme, translucide, et reflète un bleu, de photoshop. Il ya dans le coin, des maisons, menues et bien cachées dans le paysage et quelques Croates prenant le soleil, en tout naturel. Le calme coule par les veines, c’est un moment trés détendu, et photogénique. Thoma cherhe de la vie entre les restes de corail, et n’arrête pas de décrotter des méga shtrucs entre larve et crevette, allant même trouver des crabes.. et une anémone..Ben oui, la flotte est plutôt fraîche, et dans les petits creux laissés par les marées, sont venu pondre toutes sortesde choses pas nuisibles, mais étranges

En images..

Débarquement Le bout du monde.. avec passerelle, ou invitation à vous glacer le sang Les trois triphons.. Le bac à sable pour les humains La frontière galeuse Le ras de la mer De la vie venue d’ailleurs L’autre vie venue d’ailleurs Sepia sur Umag (à croire que c’est une province de Mars) L’annémone flirteuse..

Après donc cette petite heure perdue en ‘reconnaissance’, nous remontons en voiture, pour bientôt arriver à Porec. Le mariage se faisant à Vishnan, Porec est la vile la plus proche, et très prisée elle aussi par les touristes Italiens, Slovène ou autres.

Quand on y arrive, c’est la ville touristique, du moins pour les plaques des voitures, mais rien ne semble altérer l’ordre, lesoleil brille encore intensément, les échoppes sont toutes là, à portée des mains, le port de plaisance super tranquille, et nous voilà enfin à notre hôtel à 17€ la nuit, en plein milieu de la ville. Et encore une qui dévoile les premières impressions panoramiques..

Il y a une petite île au centre du paysage, avec une sorte de grand Casino, et un bateau assez bruyant qui fait l’aller retour presque constamment. Nous n’y sommes pas allés, car, encore une fois, l’eau était assez froide.

Nous nous reposons un peu , et puis on est go pour aller faire un tour de la ville, et visiter la fameuse église ‘Euphrasienne’. C’est à ce moment qu’on se croise avec la soeur de Marcel, son petit et son copain. J’ai du mal à la reconnaître, et elle nous emmène toute entousiasmée faire un tour Ensuite quelques rues typiques..

Celle là pas très fréquentée cet après midi là..

Ici, la rue principale, où l’on peut se procurer de tout en Eur ou en Kunas, avec taux de change variable, suivant l’heure..

Ici, une des flèches qui traverse le beau ciel bleu, faites en petites pierrettes, et que nous retrouvons sur toute la côte, et la campagne Istrienne, et même après tant d’années de dictature communiste, la tradition ne s’en est pas ressentie. Curieux détail aussi la pizza, pour vous montrer combien ils adorent, autant que les ritals, leurs pizzas méga-bonnes (et leurs fournaises éternelles).

Arrive donc, l’Euphrasienne..(j’en étais sur mun cue, quand j’ai vu le nom si à propos de nos jours donné à cette basilique (Eufrazijeva bazilika), ‘Complexe Episcopal’, à croire que c'est un 'ressort' avec toutes sorte de facilités pour prier, chanter, et trinquer entre les curés) Et croyez moi, il y a des Croates dans la foule..Et Laguna Beach, il a l’air un peu gonflé déjà (il sait pas ce qui lui attends).. Certes, il y a aussi un très beau fronton, à la peiture dorée, qui donne très bien Et mtn, l’intérieur, qui comme toute bonne église qui reçoit constamment des visiteurs a-confessionnels, sent un peu l’encens Et encore une de l’autel de près..

Que dire, sinon qu’ils ont pas trop travaillé les reliefs, mais la qualité de la peinture, de ses lignes, et de ses matières premières, brillament restaurées.

Un peu de Wiki sur l’églises elle même... 'bâti entre 543 et 554 de style paléochétien avec de "très fortes influences byzantines". Le lecteur apprend tout d'abord que cette "vaste basilique" possède dans l'abside un "extraordinaire" ensemble de mosaïques, sur fond or, représentant, pour certaines, des personnages hiératiques, pour d'autres, des "figures décoratives géométriques" qui proviendraient d'un temple du 1er siècle ; celles du baldaquin, de style "vénitien" représenteraient l'Annonciation. En-dessous de certaines mosaïques se trouve une inscription concernant la construction de l'édifice. L'auteur précise que les mosaïques des absides latérales ont été "malheureusement dégradées" au 15ème siècle. Néanmoins il reste dans quelques endroits "des vestiges des mosaïques de sol d'origine". Le baptistère, quant à lui, est en partie de la même époque. '

Après être sortis, La soeur de Marcel nous accompagne le long des rues, et nous concède pas mal de trucs pour ‘dribbler’ les prix pour les touristes que nous sommes, et mettre à profit notre bonne foi dans la matière....

Nous arrivons sur une place , ou j’en profite pour me prendre un bon Bronceur, car la météo est tout simplement géniale, contrairement aux prévisions Google. On se sépare alors de la copine de Marcel, et nous aloons nous prendre un petit verre à une terrasse, savourer un peu la couleur locale des alcools.

Nous décidons alors, d’aller faire un long tour de la ville, vers la plage, pour voir un peu ce que devenait tout ce qui était derrière l cime de l’horizon Porechien

En images.. Nous découvrons alos un long mur, et un quai qui donne sur une zone verte, et une vue Bleue Sur le Chemin, on croise une sperme-béhème et son cousin kitté plus moderne.. Une fois arrivés sur le bout de la ville, nous tombe dessus le soleil, et avec lui, un magnifique coucher de soleil Avec 2 filtres différents, à vous de choisir lequel vous convient le mieux

Nous retournons à l’hôtel, pour se reposer encore un peu, car le soir Marcel vient nous chercher pour nous emmener en virée avec une pre-view des gens du côté de la fiancée

Enfin venu le Moment, on retrouve notre Star, qui entre sourire, et beinvenue, nous embarque vers un resto très rpisé du coin, avec comme grand invité.. ‘Le trufffes’. En effet, elles abondent la saison venue, et nous les retrouvons dans le fromages, les plats de pâtes, les viandes, les légumes, et le riz, donc tout ce que j’aime.

Je me retrouve à côté d’un couple de Zagreb, amis de Adela, et du demi-frère de Adela, qui vient direct de la suède. L’endroit est sombre, avec une déco assez classique de pêche et agriculture, et les entrées, au jambon de parme est vraiment d’excellente facture, et ouvre parfaitemente les papilles gustatives affamées après pareille variété de jambon et fromage. En photos.. D'abord la Star, flamant Croate Le couple ami de Adela Le frangin d'Adela Les mets Et encore des Croates que je reverrai le soir d'après à notre table, ou presque.. Le futur témoin Et ainsi passe la soirée on parle un peu de tout et dans tout, c'est un vrai régal, puis le soir encore nous sommes rentrés à l'hôtel, mais avant, il y avait bien un verre dans une endroit très d'été, et branché terrasse. A ce moment, on n'était plus que Marcel, Tom&Kanki, Témoin, moi, et une fantastique rousse très pétillante et gracieuse, du nom de Jana et cousine de Marcel et encore une curiosité, les verres, nous ont littéralement plié, et pas que par le goût, assez européen, mais par le diable qui s'y cachait derrière, un feu d'alcool très bon pour la fin de soirée.. Et encore un, qui essayait de charmer et briller, mais dont les seules larmes étaient celles données dans d'alcool Très chouette la soirée, très éclectique, marrante, et découvertedu caractère Croate de Zagreb (d'où venaient la plupart), on va dire, très Européen.. Le lendemain, réveil matin, pour pas manquer le buffet, puis après, nous allons faire un tour du côté des plages du nord, et par ou se trouve l'hôtel de Anamaria, la soeur de MArcel. En images.. Un café bar à la hauteur l'île dorée au casino Les dents de la mer.. Et finalement, les 3 belgo-espagnolo-japonais Encore une avec le chouette parcours qui nous attendait Et mtn, Porec en panorama Une classique, avec port de plaisance.. une totale 360 et.. Porec Et bien d'autres, avec tobogans, mirador et autres.. Il ya aussi le fait que les rues sont parfois décorées avec des bacs de fleurs, et qui m'ont donné un peu d'inspiration pour retouches et autres.. L'original et la retouche Ensuite nous rentrons à l'hôtel, vite se changer pour la séance photos (pas moi en tout cas, juste en famille et témoin et encore une Donc ça y est, on est fin prêts, nous nous retrouvons avec Jana et ses parents, et nous partons vers Vishnan, village de la mariée pour commencer vraiement le mariage vers 3h de l'après