Astro-Brioche,

Mes Amis

Mars et Avril ont été de sacrés mois, grandioses, saupoudrés de visites fort sympathiques de quelques uns parmi vous, et malgré tout ce bonheur, je vais enfin rentrer pour quelques jours à Bruxelles. (du jeudi au mercredi prochain), pour me reposer un peu, du boulot, du kot, et profiter un peu de votre fidèle compagnie et de la famille, qui se réunit elle aussi.

Tout d’abord, la visite d’un ami que j’aime beaucoup, la chevelurE dans les étoiles, et la tête bien accrochée, des idées simples, de grande continuité, d’un soutien inébranlable et d’humour assez particulier, je vous parle de Gabriel, ou Astro Brioche, qui est pour l’instant aux canaries, étudiant par moments la nuit, et observant et composant le Jour. Le Jour après une présentation, il se pointe, invité depuis toujours, pour faire une pause, et connaître un peu Madrid.

Le voici donc, lors de mon tour guidé, par le temple ‘devod’, et qui plasmera la plupart d’entre vous, à n’importe quelle saison, et n’importe quel temps, peu avant un chocolat chaud avec Churros au San Ginés.

Le jour, commençait presque sans petit déjeuner, et s’enfilait de promenades diverses, sans vraiment requisitionner tel ou tel quartier, et surtout, avec du temps, que ce soit pour manger, ou pour sortir un peu plus tard le soir. Cela faisait bien longtemps que j’avais plus refait les blagues en brioche,

caractéristiques de ce phénomène si particulier. Bref, ça a été super relax, avec assez de tours par le parc, et dans la nature, pour apprécier le printemps qui arrivait fleurissant (ah oui, on a eu des deux temps intermitents, froids et chaleureux)

(P.S j’arrive pas à avoir des macros avec ma Pentax, juste avec la Nikon, avis aux futurs acheteurs), et j’ai même rencontré un pote français à lui, qui habite ici, très sympa lui aussi.

La semaine d’après, j’attendais José et Laurie, qui allaient rester chez José ici. Laurie, elle découvrait Madrid, et malheureusement j’ai pas su les voir longtemps, mais l’essentiel à été couvert, en quelques heurese seulement, en voici la prevue (malheureusement pas de photos avec le temple Devod)

Que dire à part qu’ils étaient assez crevés, deleur tour par Zamora et autres villes en route vers la capitale, et que ça m’a fait énormément plaisir que de les revoir en chair et en os, et que la prochaine fois, ce sera un vrai long séjour à Madrid!

Deux semaines se sont écoulées, jusqu’à ce que juliette et jasmin se pointent, et cette fois c’était moi qui était crevé de la semaine au boulot.. On s’est un peu baladés de trop dans le metro (pour ne pas dire paumé) de retour de l’aéroport, et la visite de Malasaña a commencé comme il est du, pas notr ‘San Antonio de los Alemanes’ , et la Plaza del 2 de Mayo.

et plaza de España

. Ils avaient une pêche d’enfer ces gaillards, et à part le curieux stereotype du gars qui aime pas prendre de photos, et l’autre qui n’en arrêtait pas, tout se passait dans une suite prévisible, parfois sérieuse et parfois gaie. Ils m’ont aussi présenté des espagnols très sympas à leur façon qu’ils avainet rencontré de leur époque à Edinbourg. Samedi sortie dans la zone de sol et comme bonus, on s’est fait tenter par un de ces argentins qui vous invitent au milieu de la rue, à tout bout de champs, pour prendre une sangria dans son bar pour novices, près de Plaza Santa Ana. Je m’arrête sur le détail, car après, on est allés dans un endroit encore plus crade, ou que les murs tous monochrome vous rappellent ces bars étudiants impénétrables, (bon, dans celui-là, fallait pas s’attendre à se faire inviter une chopinette) où qu’il fait bon de se réunir, boire des bières sympa, et en prime, avec tout plein de vieilles chansons des 80 et 90, que ma kokote raffolle, et qui me rapellent de l’époque quand j’habitais ici. C’est bizarre de mélanger ainsi mélancolie, regrets, et de laisser couler un peu de bière avec des nouveaux visages, et se laisser porter par des hauts et des bas de la musique, offusqués par la fumée et les flux de couleurs primaires, et s’enchaînent les anecdotes et remarques presque innocentes qu’on se racontait, et faire ainsi passer le courant du temps bien enchaîné, et chaque fois plus inconsistantes les émotions emmelés d’alcool et souvenirs si gais, ou si tristes des fois que ça nous prenait au coeur, bref, une très chouette soirée, d’où l’on rentre bien remplis et ébouriffés.

Encore une fois, réveil tardif, et retour au point où l’on s’était arrêté la veille, c’est à dire le palais royal

Et puis petite visite à la Palza Mayor , puis, je ne sais plus pourquoi, nous sommes descendus, le long du boulevard, en s’arrêtant au passage devant les musées vers la station de Atocha, où dans la petite parcelle de jardin tropical, (la pic précédente et suivante ont été subtilisées à mon précédent Blog, donc les photos sont sûrement à Marina)

on a pu voir une série de tortues, de celles qu’on voit dans les magasins d’animaux, et qu’on jurerait qu’elles vont jamais grandir, pour les voir s’ammonceller sur les cailloux les plus durs à se hisser, les unes sur les autres, enhauuumes en guise de parade pour celles qui guettent depuis la surface de la petite mare

Bon, pour le côté culinaire, faut dire que juluette m’a rapporté un super gâteau au chocolat, et qu’elle m’a refilé la recette, et que j’ai su répéter pour la dernière soirée de kokote Adri (j’y arriverai dans prochian mel), et que chaque fois que je voulais cuisiner, mes kokotes aussi, et comme assez préssés,ben, c’était par moments assez ‘dur’ (pour pas dire ‘cru’)

Je vais vous laisser pour l’instant, et je continuerai, demain, avec ce dernier W-K, fort triste et comique, passé à déménager kokote Loli, et accompagner kokote Adri à l’aéroport deux fois d’affilée. Je vous garantis, humour et larmes garanti! Sinon, je vous le raconterai en personne ce W-K à Bru, ou j’espère voir la plupart d’entre vous

Bonnne journée à vous, et à très bientôt mes amis!